Pfff, encore le philosophico-politique...Les grands mots.
L’ homme des cavernes était libre, il chassait et vivait en groupe, il devait aimer les siens, échanger à l’ occasion des dents de mammouths contre des oreilles de truies confites, et le premier qui l’ emmerdait devait visiter sa collection de gourdins dans sa gueule. Je sais pas si pour l’ occasion il y avait un grand parking. Je crois que ses contradictions, il devait en avoir, comme tout un chacun, ce que vous ne dites d’ ailleurs pas, et cela ne l’ empêchait pas vivre peinard. Mais, à vrai dire, si mes idées essayent de coller le plus possible au monde concret, je crois que c’ est quelqu’ un qui pense comme moi qui en a le moins.
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