Romios Romios 22 janvier 2013 16:43

C’est dommage que ce que dit Karenski au debut soit coupé.


Il a très bien decrit la fameuse légitimité par identification victimaire qui est devenu le principal instrument de l’etouffoir democratique.

On n’est plus legitime aujourd’hui par le fait majoritaire qui est la base de la démocratie.

On est légitime par identification victimaire, c’est à dire par l’adhésion à un groupe artificiel créé autour d’une caracteristique definie comme stigmatisante :

Homo, noir, femme, juif...

Une minorité apolitique puisque le fait d’etre homo ou juif ou femme etc. ne releve pas d’une ideologie.

Ce qui n’empeche pas de stigmatiser quiconque trouve etrange cette nouvelle forme de legitimité politique en lui attribuant des intention persecutrices vis à vis des groupes victimaires, ce qui se traduit tout de suite par une ribambelle de qualificatifs l’excommuniant illico du monde des gens respectables, comme on le voit à l’image avec ce bouffon qui menace de quitter le plateau, outré d’etre en presence d’un intelocuteur qui accumule tous les anathèmes en meme temps : raciste, homophobe, antisémite et sans doute phallocrate...

A l’opposé on voi bien que ni l’ideologie ni les actes d’Obama n’interessent les médias.

C’est un président noir et par ce simple fait, il faut le soutenir.

Il fait la même chose que Bush, mais on s’en fout puisquIl est noir.

Bush faisait torturer et emprisonner, c’etait une salaud.

Obamma fait liquider des gens sans procès, mais c’est un grand démocrate puisqu’il est noir.

Juger les gens sur leur couleur de peau, c’est le B A BA du racisme.

Un veritable antiraciste devrait ignorer la couleur de peau d’Obama et regarder ses actes.



Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe