Her reports from Syria in 2012 and Libya in 2011 have been criticised, e.g. by New York Times blogger Robert Mackey. Phelan said she believed that research had shown that Syrian government information was far closer to the truth than the claims being made by western-backed insurgents in both countries and the NATO and GCC media which she accused of encouraging wars of aggression against sovereign states.[21]]

In relation to Libya, she accused the media of only partly showing the reality of the atrocities committed by the rebels once the NATO aim of regime change had been accomplished, and accused mainstream journalists of acting as spies for Western intelligence services :

"In addition to that, it is well known that the mainstream media is under oligopoly control by the ruling class and so any pretence to a free and independent press is a farce. It has been well documented throughout the history of the west’s imperialist wars how this intimate relationship between the media and the ruling class allows the latter to use “reporters” as its eyes and ears on the ground. In Libya, this was no different and some independent researchers and journalists on the ground unsurprisingly uncovered evidence that when “journalists” were taken to visit bombing sites, instead of reporting the infrastructural damage and loss of civilian life accurately to the global public, they were merely there to take note of what had not been destroyed. And one can only conclude that this was to report back to intelligence services so that the site could be re-bombed (as they more often than not were)."[22]

In September 2012, UK broadcast regulator Ofcom found that two Libyan dispatches broadcast by Phelan on the Russia Today channel in August 2011 were in breach of its code on accuracy and impartiality. [23]

Le 22 août Thierry Meyssan et Mahdi Nazemroaya accordent une interview à RussiaToday, une chaîne de désinformation pro-Kadhafi en anglais. Dans cette interview ils accusent les journalistes américains otages comme eux, d’être des assassins de la CIA en mission pour les supprimer. Cette rumeur est évidemmment véhiculée par tout le web conspirationiste via Mécanopolis qui garde le contact avec Meyssan jusqu’au mardi 22 août où il disparaît des ondes… Les conspirationnistes lancent des rumeurs de panique, comme les tweets de Webster Tarpey (autre propagandiste habitué de RussiaTday et PressTV, qui était à Tripoli avec Meyssan quelques semaines plus tôt.)

Son compère conspirationnistes Julien Teil, otage comme les autres s’indigne le 25 août au lendemain de leur libération dans un communiqué envoyé à son ami l’écrivain contesté Paul-Eric Blanrue : il reproche à Thierry Meyssan l’interview à RussiaToday et ses accusations à l’égard des journalistes étrangers. Il précise :

Aucun d’entre eux n’avait de mauvaises intentions, ils ont au contraire amplement contribué à notre libération.

Le communiqué est reproduit par quelques blogs conspirationnistes. Le webmaster de Mécanopolis s’expriment à ce sujet :

«  A toutes fins utiles, nous nous devons de rappeler cette phrase qui figue dans la présentation de Mecanopolis : « La trahison est le seul crime pour lequel il n’existe pas de pardon ».

Claude Covassi, fondateur de Mecanopolis.org  »

Ils quitteront Tripoli le 28 dans des conditions qu’ils disent dangereuses, et en compagnie de Lizzie Phelan, prétendue journaliste de RussiaToday et PressTV la chaîne de désinformation en anglais du régime iranien. Sur ces deux dernières chaînes russe et iranienne Lizzie Phelan et les autres conspirationnistes ont désinformé au profit de Kadhafi durant toute la guerre. La description de leur fuite en bateau est pathétique.

Plus bas, Thierry Meyssan dans un enregistrement en compagnie de Julien Teil et LLP, avoue avoir décidé seul de prendre des “responsabilités” au sein de la Jamahiriya :

« j’ai essayé de défendre le droit international… et pour ce faire j’ai pris des responsabilités au sein des institutions de la Jamahiriya »

leur mensonge ira loin

Le site du RéseauVoltaire publie ce communiqué :"

« Le Libre Penseur (LLP), Pierre Dortiguier, philosophe ; Ginette Skandrani, fondatrice du Parti des Verts (dont elle a été exclue depuis) ;Alain Soral, écrivain ; Dieudonné M’bala M’bala , humoriste, acteur, et militant politique Maria Poumier, écrivain ; Johann Livernette, écrivain ; Béatrice Pignède, réalisatrice ; Paul-Eric Blanrue, écrivain ; Francesco Condemi, réalisateur ; John Bastardi Daumont, avocat ; Frédéric Courvoisier, Claude Covassi et Spencer Delane, fondateurs de Mecanopolis.org »

 bref, une belle poignée de DESINFORMATEURS, tous d’extrême droite.