Histoire de France par François Asselineau
C’est une conférence qui fait ressortir quelles sont les grandes constantes de l’histoire de France sur 2000 ans, qui se sont perpétuées sous tous les régimes et malgré toutes les révolutions, qui met à jour des faits émouvants, méconnus, spectaculairement révélateurs, etc., et qui conclut, en annonçant l’avenir qui nous attend.
Elle est également beaucoup plus historique et “littéraire”, et pratiquement pas “économique” et “financière”.
19 réactions
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RepublicainVox
26 février 2011 11:58
Asselineau fait de bonnes conférences, mais tout ce qu’il dit n’est pas juste
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sheeldon
27 février 2011 08:06
marine le pen elle ne se trompe pas !
quand elle doit voter le grand marché transatlantique elle fait partie des bons élèves !
elle est " loyale ’ a qui ? ptdr
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Jean-Pierre Llabrés
25 février 2011 11:44
Ce n’est pas de l’Histoire ! Ce n’est que de la propagande anti-européenne ! ! ! Lamentable ! ! !
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gazatouslesetages
25 février 2011 14:44
Jean-Pierre, pouvez-vous nous dire ce qui est faux dans la conférence de F Asselineau (puisque vous dites que c’est juste une propagande) ?
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Jean-Pierre Llabrés
25 février 2011 23:18
Lorsque je suis parvenu au commentaire de La Marseillaise, cela a été suffisant pour moi. Ensuite, je n’ai fait que des lectures très ponctuelles.
L’auteur a parfaitement le droit de dire ce qu’il veut sur les sujets qui lui conviennent.Mais, il n’a pas le droit de dénommer cela "Conférence sur l’Histoire de France". -
gazatouslesetages
26 février 2011 03:26
Ah ça, Jean-Pierre a bcp d’arguments pour dire ce qui est faux dans les faits historiques présentés ici.
Jean le bon était en fait mauvais ? ;)
alors si F Asselineau ne fait pas de l’’histoire, pouvez-vous nous donner une personne qui fait de l’histoire ?
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Jean-Pierre Llabrés
26 février 2011 07:37
Personne ne vous interdit de considérer cela comme une "Conférence sur l’Histoire de France".
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sheeldon
27 février 2011 07:39
" Ce n’est pas de l’Histoire ! Ce n’est que de la propagande anti-européenne ! ! ! Lamentable ! ! ! "
marrant cette remarque on vit dans la propagande quotidienne des pros européens , je ne vous entends pas vous en plaindre !!!
ce qui est drôle avec les européistes c’est qu’ils n’acceptent même plus la controverse ! le débat !!!
leur dogme est la réalité !!!
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glavio
25 février 2011 13:29
Parce que l’histoire de France ne se résume pas à la construction de l’eurocratie du pape européen de la CIA, le bon Jean Monnet.
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Loiic16
25 février 2011 15:22
Ceci étant, je suis assez d’accord avec toi Glavio, mais M. Asselineau n’a pas la prétention ici d’écrire une Histoire de France dans le roc, et toute les histoires de France que ce soit Bainville, Michelet, Braudel, Gallo etc ont un parti-pris c’est quelque chose d’obliger. Et comme le disait Paul Ricoeur : "Nous attendons de l’historien une certaine qualité de subjectivité" alors certes, cette Histoire de France est orientée sur une construction de l’UE et c’est un choix accepeable je pense. Mais ce n’est d’ailleurs pas la seule demonstration, elle demontre aussi que la France s’est toujours construire face aux Empires, qu’elle a toujours sue dire non, se poser en s’opposant ! "Seul l’esclave dit toujours oui" disait Malraux et c’est ce que cette conference démontre aussi...La France fut résistante et doit le rester en ces temps difficiles. Après il n’est pas demandé de la porter en évangile selon Saint François A. Mais autant s’informer plutôt que de se construire une culture dans l’ignorance du tout.... Alors commencez par regarder tout d’abord.
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Sentero
25 février 2011 18:36
Asselineau... en quoi est-il qualifié pour faire une leçon sur l’histoire de France ? (il a fait HEC et l’ENA mais à ma connaissance aucune étude spécifique en histoire) ...sa spécialité c’est l’inspection des finances, les affaires internationales, l’intelligence économique et l’enseignement dans des écoles de commerce... enfin bon c’est ce qui est écrit sur le site de l’UPR alors cela doit être vrai.
Au plaisir.-
Loiic16
25 février 2011 21:39
Toujours mieux que les profs vacataires qui enseignent en nombre dans les collèges et lycées. Il ne suffit pas d’avoir le capes ou l’agregation pour pouvoir parler d’Histoire, je crois que de Gaulle n’etait pas prof d"histoire non plus connaissez t-il mal l’Histoire de France pour autant ?... Regardez plutôt la vidéo, et jugez ensuite...
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Sentero
28 février 2011 11:29
Je n’ai pas pu aller au-delà de la conquète des Gaules... la conférence est ennuyeuse au possible : ton pédant, powerpoint systématiques censés animer le discours... Asselineau ne me semble pas un très bon pédagogue... voilà pour la forme.
Quant au fond l’analogie De Gaulle/Vercingétorix ou Jean Moulin/Vergingétorix (avec photos à l’appui pour ceux qui ne comprendraient pas :)) est exactement le type d’analogie qu’on évite en histoire... de même que l’utilisation de "nation" ou "patrie" pour qualifier les Gaules d’avant la conquète romaine... (cela me fait penser au film Vercingétorix avec Christophe Lambert commençant un discours par "Gaulois ! Gauloises !" :)))))))))))))))))))
J’ai aussi beaucoup aimé son "Un empire ce n’est pas gentil..." (répété deux fois pour faire plus pathétique :))))) ...comme si les Gaulois (eux-même envahisseurs du territoire qu’on appelle actuellement la France) étaient spécialement gentils...
Asselineau revisite l’histoire de France... pourquoi pas... en réalité il me semble qu’il recopie tout simplement des livres d’histoire patriotiques du XIXe siècle, dans sa quète d’une nation idéalisée, en y rajoutant une note anti-impérialisme américano-atlantiste tout à fait dans l’air du temps.
Il lit le passé à l’aune du présent exercice classique en histoire mais au combien périlleux puisqu’il revient à appliquer une grille de lecture contemporaine à des évenements passés au risque de les tordre ou de les sélectionner tendancieusement pour leur faire dire ce que l’on veut.
Bref ce M. Asselineau me parait un patriote tout à fait sincère et honorable mais un peu trop aveuglé par son nationalisme (et je n’utilise pas le terme péjorativement) pour être suffisamment objectif.
Au plaisir.
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