mardi 31 janvier 2017 - par TV Libertés

Zoom – Général Didier Tauzin : “Je suis l’homme de la situation !”

Le Général Didier Tauzin est l’invité de TVLibertés. Depuis plus de deux ans, quadrillant le pays, il va à la rencontre des maires de France pour obtenir les paraphes nécessaires pour être candidat à l’élection.

 

Parallèlement, après le succès du livre « Rebâtir la France », le Général Tauzin publie son programme pour le quinquennat dans lequel il détaille abondamment les principales mesures pour redresser la nation française. Il fait une présentation très précise de ses 100 premiers jours à l’Elysée et annonce la réalisation d’une « Grande Charte de France » soumise à référendum.

 

Malgré les projets et les propositions, le Général Tauzin est soumis à la diète médiatique . Il bute sur le manque de soutien financier et sur la difficile quête des parrainages pour sa candidature . Est-ce que ces difficultés entament son énergie et sa détermination ? Réponse dès les premières secondes de l’entretien...

 



20 réactions


  • Qamarad Qamarad 31 janvier 2017 17:01

    Et moi, Jeanne d’Arc m’est apparue en songe et m’a demandé de bouter les européistes hors de France smiley

    Si ce Monsieur vient à tomber sur mon commentaire, je ne doute ni de ses qualités, ni de sa sincérité, ni de la justesse de son programme. Mais cette tendance des souverainistes à s’écharper, à se draper des oripeaux royaux et de faire des déclarations grandiloquentes quand ils vont faire un score minime est plus qu’irritante. Voilà un camp dont l’électorat est majoritaire (vote de 2005) et qui n’est pas foutu de prendre le pouvoir à cause de multiples chefailleries de pacotille. Nous sommes collectivement des glandus.
     Regardez l’AFD (bien que ce parti me rebute) qui est parvenu en quelques années à faire ce que nous avons fait ne plusieurs décennies.
    Redescendez un peu. Je ne vois qu’une basse cour qui passe son temps à se déplumer quand la haute cour, elle, se marre bien de notre stupidité.


    • maQiavel maQiavel 31 janvier 2017 18:54

      @Qamarad

      Il y’a deux problèmes :

      -La souveraineté est une chose, ce qu’on souhaite en faire en est une autre. On peut être souverainiste mais avoir des programmes et des idéaux totalement différents, voir antagonistes. Et puis il y’a aussi des antagonismes historiques : je vois mal Marine Le Pen et Jean Luc Mélenchon par exemple travailler au sein d’une même structure politique, même les militants ne l’accepteront pas, tu vas avoir des bagarres générales toutes les semaines au QG de camapgne. smiley Les souverainistes peuvent travailler séparément pour un objectif commun mais jamais ensemble pour ces motifs.

      -En supposant que je me trompe et qu’il soit possible qu’ils travaillent ensemble pour un objectif commun, il faudra alors qu’ils fassent abstraction de leurs idéaux et par conséquent d’un programme digne de ce nom, une structure politique rassemblant des personnes venus d’horizon différents et idéologiquement ennemis ne survivrait qu’en se fixant pour seul et unique objectif de recouvrer la souveraineté nationale, ce qui signifierait qu’elle serait dissoute une fois l’objectif atteint. Un peu comme ces mouvements de libération nationale qui sont unit tant que l’envahisseur est sur leur terre mais qui , une fois bouté l’ennemi dehors , n’ont plus leur raison d’ÊtreÇa veut dire qu’une telle structure ne devra pas mentionner les questions économiques, sociétales, géopolitiques ou même culturelles. Il est impossible aujourd’hui d’être élu en limitant son programme à la stricte restauration des prérogatives régaliennes de l’Etat français.

      C’est seulement, une fois ces deux problèmes résolus que se poseront les problèmes d’égo au sein de la structure. C’est tellement compliqué que chacun préfère croire en sa chance de gagner, même pour les petits candidats, en se disant qu’après tout, personne ne voyait gagner les élections américaines celui qui était crédité de moins de 5 % des intentions de vote dans les premiers sondages pour la primaire républicaine. Peut –on leur en vouloir ? Oui , on peut mais moi je ne leur en veut pas … 


    • Qamarad Qamarad 31 janvier 2017 19:30

      @maQiavel
      -La souveraineté est une chose, ce qu’on souhaite en faire en est une autre. On peut être souverainiste mais avoir des programmes et des idéaux totalement différents, voir antagonistes. Et puis il y’a aussi des antagonismes historiques : je vois mal Marine Le Pen et Jean Luc Mélenchon par exemple travailler au sein d’une même structure politique, même les militants ne l’accepteront pas, tu vas avoir des bagarres générales toutes les semaines au QG de camapgne.  Les souverainistes peuvent travailler séparément pour un objectif commun mais jamais ensemble pour ces motifs.

      Pendant la rédaction de commentaire, je ne pensais même pas à Mélenchon. Tu as raison de le mentionner. Mais une chose : tous les autres souverainistes militent non seulement pour la souveraineté, mais pour des orientations économiques similaires (état stratège, relance économique). Et tous ces gens-là forment et formaient déjà potentiellement une majorité (2005), le revirement souverainiste de l’ami Mélenchon étant plus tardif...


      -En supposant que je me trompe et qu’il soit possible qu’ils travaillent ensemble pour un objectif commun, il faudra alors qu’ils fassent abstraction de leurs idéaux et par conséquent d’un programme digne de ce nom, une structure politique rassemblant des personnes venus d’horizon différents et idéologiquement ennemis ne survivrait qu’en se fixant pour seul et unique objectif de recouvrer la souveraineté nationale, ce qui signifierait qu’elle serait dissoute une fois l’objectif atteint. Un peu comme ces mouvements de libération nationale qui sont unit tant que l’envahisseur est sur leur terre mais qui , une fois bouté l’ennemi dehors , n’ont plus leur raison d’Être.

      Non, je t’assure que c’est un problème français, fruit de notre latinité. Il suffit de voir comment en Europe du Nord principalement, l’opposition souverainiste se fédère plus facilement. ADF, le parti autrichien qui a de peu manqué l’exécutif...

      personne ne voyait gagner les élections américaines celui qui était crédité de moins de 5 % des intentions de vote dans les premiers sondages pour la primaire républicaine. Peut –on leur en vouloir ? Oui , on peut mais moi je ne leur en veut pas

      C’est un tantinet différent. Là on parle d’un type qui a d’abord remporté les primaires du parti républicain et qui s’est appuyé dessus pour l’élection présidentielle. Si le parti te donne l’occasion de porter un projet quelconque, une fois remportée la mise, malgré quelques divergences internes, il se met en ordre de bataille pour la maison blanche. En remportant les primaires et en écrasant les mous du caleçon qui lui étaient opposés, Trump a gagné une réelle légitimité.

      En France, nous avons des structures pluralistes, avec aucune municipalité, avec des programmes similaires et qui vous disent sans rire : "Nous sommes la seule solution". A un moment les glandus, redescendez sur terre...


      Enfin, moi je disais ça si jamais notre ami général lit les commentaires... A titre personnel, je m’en taponne le coquillard : je ne suis pas inscrit sur les listes électorales et ne compte pas apporter un suffrage parce que bon, les français étant ce qu’ils sont, ça ne va pas se dénouer dans le calme...



    • Qamarad Qamarad 31 janvier 2017 19:39

      @Qamarad
      D’ailleurs, pour prolonger mon propos sur Trump, Sanders avait fait des déclarations en sa faveur et cela s’est confirmé dans le vote... Les magouilles des Clinton et des points de convergences ont permis à l’électorat de Sanders de se reporter majoritairement sur Trump...

      En France, voyez-vous, on n’est même pas foutu de réunir 500 signatures, de tenir proprement une municipalité, de s’exprimer sans perdre ses moyens devant des journalistes médiocres et ça vient quand même concurrencer César dans le panthéon impérial.


    • Qamarad Qamarad 31 janvier 2017 19:42

      @Qamarad
      concurrencer César dans le panthéon impérial.

      César n’étant pas empereur bien sûr, mais imperator. Qu’on me pardonne mon emportement, l’important, c’est l’image...


    • maQiavel maQiavel 31 janvier 2017 19:45

      @Qamarad
      J’ai parlé de Melenchon parce que tu as fait référence au référendum de 2005.

      Mais effectivement , une précision s’impose :peux tu décrire précisément les souverainistes auxquels tu penses dans ta critique ? 


    • Qamarad Qamarad 31 janvier 2017 20:17

      @maQiavel
      Le FN et les partis satellites (le SIEL etc etc), UPR, debout la France, le général ici présent, Jean Lassalle (un peu plus brouillon, mais bon...), mais aussi une frange des républicains sous le nom de droite populaire (qui espère encore influencer le parti de l’intérieur, bonne chance...), une frange de la gauche parlementaire principalement les chevènementistes (Philippot, ex chevènementiste ralliant le Fn, pour exprimer la proximité,) et encore j’en oublie quelques-uns...

      Tout ce beau monde est d’accord pour réinstaurer une grande partie de la souveraineté, de l’user pour réguler l’immigration, relancer la machine économique, planifier notre avenir à moyenne et longue échéance, redonner à notre diplomatie française sa grandeur, relocaliser autant que possible etc etc...

      Sous d’autres cieux, se serait engager a minima un front anti-euro et les petits histrions se seraient retirés. Pas en France...

      De même, on se souvient de la guerre Chirac/ Balladur qui n’avait pas grand sens et qui fit dire à je ne sais plus qui "on n’a la droite la plus conne du monde", je serai bien tenté de reprendre cet adage... smiley


    • Flash 31 janvier 2017 20:53

      @Qamarad

      A mon avis, ce type, comme la plupart des leaders "souverainistes", est un sous-marin. Des gens en service commandé pour le Système : l’objectif étant de grappiller quelques 1/10e de % ou quelques % au Front National.

      (Seul le FN, parti nationaliste dont la base de l’électorat est maintenant à 20% ou plus - et à 30% chez les jeunes -, donc susceptible d’arriver au pouvoir, fait peur au Système ploutocratique international et ses relais en France. Sûrement pas l’extrême gauche, qui a toujours été son outil [via la multitude des idiots utiles et des sentimentaux], comme Marx en avait d’ailleurs averti les socialistes au 19e siècle, et dont on voit ce qu’il en est quand elle arrive au pouvoir - cf. Siryza en Grèce...)

      Bref, revenons aux leaders "Souveranistes" (je mets le mot entre " " parce qu’un Asselineau, par exemple, ne se reconnaît pas comme "souverainiste").

      Qu’est-ce qui me fait dire ça ?
      Le fait que tous ces personnages sont des individus extrêmement intelligents (par rapport à la moyenne de la population), et qu’ils ne peuvent pas ne pas savoir :

      1. 1) qu’ils n’ont aucune chance d’être élus,

      2. 2) l’effet de dispersion des voix qu’entraînera inéluctablement leur candidature,

      3. 3) l’effet de brouhaha (de "bruit", comme on dit en théorie de la communication) qu’a du coup leur action, contribuant à rendre plus difficile pour l’électeur d’y voir clair.

      Si ces individus étaient réellement sincères,

       ou bien ils se regrouperaient (par grande tendance, bien sûr ; on voit mal, en effet, Mélanchon - ancien sénateur PS pendant 35 ans, qui a voté "oui" pour le traité de Maastricht, accoquiné ensuite avec les cocos - se pacser avec Dupont-Aignant) pour constituer une force susceptible de prendre le pouvoir en mettant leurs divergences de côté le temps d’y parvenir ;

       ou bien ils seraient au Front National et travailleraient à orienter ce parti dans le sens qu’ils préconisent, ou à le débarrasser de ce qui l’empêche, à leur avis, de représenter une alternative crédible.

      Dans un régime d’élection majoritaire, on ne vote pas pour le meilleur (ce qui n’existe d’ailleurs pas en politique), mais pour le moins pire. Sauf à vouloir perdre son vote - ou à vouloir faire perdre le vote des pauv’ couillons du peuple.


    • Qamarad Qamarad 31 janvier 2017 21:09

      @Flash
      A mon avis, ce type, comme la plupart des leaders "souverainistes", est un sous-marin. Des gens en service commandé pour le Système : l’objectif étant de grappiller quelques 1/10e de % ou quelques % au Front National.

      Je pense que les choses sont plus nuancées. Vous partez du principe que les acteurs politiques sont purement rationnels... Pour en avoir fréquenté de près à l’échelle locale, c’est loin d’être le cas. Il y a une volonté de gloria personnelle qui les aveugle beaucoup et qui les condamne à jouer le rôle d’idiots utiles...

      Dans mon cas, à une élection municipale, c’était une coalition dont l’un des membres s’est retourné contre le patron alors que c’était un homme intelligent et sensé. Il a reçu quelques signaux et a décidé de jouer solo avant de se retrouver éjecté pour s’être retrouvé troisième...

      Sinon, d’accord avec le reste !


    • Flash 31 janvier 2017 21:13

      On peut en dire autant, naturellement, de types comme Jacques Cheminade, etc.


    • Flash 31 janvier 2017 21:17

      @Qamarad

      Mais, à ce niveau-là, ils ne sont pas intelligents, ils sont très, très intelligents.

      Mais, bien sûr, tout aussi intelligents qu’ils soient, ils ont aussi leurs névroses.


    • maQiavel maQiavel 31 janvier 2017 23:16

      @Qamarad

      -Le FN et les partis satellites (le SIEL etc etc), UPR, debout la France, le général ici présent, Jean Lassalle (un peu plus brouillon, mais bon...), mais aussi une frange des républicains sous le nom de droite populaire (qui espère encore influencer le parti de l’intérieur, bonne chance...), une frange de la gauche parlementaire principalement les chevènementistes (Philippot, ex chevènementiste ralliant le Fn, pour exprimer la proximité,) et encore j’en oublie quelques-uns...

      ------> En gros les souverainistes de droite. smiley

      Ceci dit, je reconnais qu’à gauche, les souverainistes sont principalement agglomérés autour de Mélenchon et quelques débris chez Montebourg, le reste faisant partie du monde intellectuel (Sapir, Todd, Lordon etc.).

      En fait, ton union souverainiste des partis de droite n’existera jamais car il faudrait une union des droites , ce qui est une chimère. A ce propos, je suis entrain de débuter un livre très intéressant « Histoire intellectuelle des droites ». 

      -Non, je t’assure que c’est un problème français, fruit de notre latinité.

      ------> smiley 

      Au-delà de ça , il y’a aussi quelque chose qui relève de la psychologie de droite. Les droitards ont les mots « ordre » et « hiérarchie » plein la bouche mais quand tu observes in vivo comment ils s’organisent politiquement, c’est souvent le bordel. C’est quelque chose que j’ai appris de mes jeunes années ou je découvrais le militantisme de terrain, ce sont des dilettantes toujours là à se crêper le chignon pour un strapontin ("mieux vaut être le premier au village que le second à Rome").Il y’a une toute autre culture militante à gauche et particulièrement à l’extrême gauche, c’est du sérieux, beaucoup plus discipliné.

      Je réfléchissais à ce paradoxe récemment : pourquoi une certaine droite qui a pourtant une psychologie hierarchiste et une telle soif d’ordre est aussi bordélique et pourquoi une certaine gauche à la psyché égalitariste et anarchiste est aussi disciplinée ?

      Je me dis que peut être, la hiérarchie chez les droitards est tellement importante dans leur représentation qu’elle est quelque part dans leur inconscient quelque chose de naturel et de transcendant, dans ces conditions il est difficile d’accepter l’infériorisation au sein d’une organisation puisqu’elle est censé être immuable. Donc il faut absolument se positionner pour être au sommet, d’où les batailles d’égo et de personnes pour déterminer un ordre de préséance.

      De l’autre coté, chez les gauchistes, la hiérarchie n’est qu’une nécessité organisationnelle, ce n’est pas quelque chose de naturel et d’immuable mais de momentanée et de conjoncturel, celui qui assume le leadership n’a donc pas à être contesté puisque de toute façon il peut être remplacé quand le besoin s’en fera sentir ,et au contraire , le chef est même gêné et mal à l’aise ,d’ou une surenchère du discours égalitariste pour compenser. Cette hiérarchie n’a pas les mêmes implications psychologiques que chez les droitards qui ont, eux, une faim de l’homme « naturellement » supérieur.

      Il est d’ailleurs assez intéressant d’observer le bordel au FN et les luttes de pouvoir qui sont féroces entre le nord et le sud, la mère et le père , la nièce et l’homo , l’identitaire et le républicain etc. Pendant ce temps, chez France insoumise censé être un repère de gauchiste égalitariste, il y’a un chef tout puissant et incontesté qui est suivi par une armée militante disciplinée qui fait un peu penser à ces hordes d’orcs du Mordor.  smiley 


    • Qamarad Qamarad 1er février 2017 00:45

      @maQiavel

      En fait, ton union souverainiste des partis de droite n’existera jamais

      Ah mais, c’est justement pour ça que je lance une petite pique contre un camp politique qui numériquement aurait des chances de l’emporter, s’il n’était bloqué par ces mécanismes mentaux que tu décris.

      Mais je ne fais pas de fixette à droite : tu vois que je penche vers une optique choaurdienne, ce qui me force à fréquenter des personnes à l’origine d’extrême-gauche smiley

      Puis, je vois que ta crise de confusionnisme continue... Tu veux nous faire gober quoi maintenant ? Mélenchon= çaaa  ????


      Et merci pour le bouquin, je mets ça de côté...



    • maQiavel maQiavel 1er février 2017 13:50

      @Qamarad

      -C’est un tantinet différent. Là on parle d’un type qui a d’abord remporté les primaires du parti républicain et qui s’est appuyé dessus pour l’élection présidentielle.

      ------> Certes mais on aurait pu rétorquer à Trump qu’il n’avait aucune chance de remporter les primaires ( c’est d’ailleurs ce qu’on lui a dit , on l’a même accusé de n’y participer que pour faire sa publicité ). C’est ce parcours qui laisse convaincre les petits candidats que ceux qui ont réalisé l’impossible ont réussit parce qu’ils ne savaient pas que c’était impossible.

      J’avoue que j’aime cette mentalité de battant. smiley


    • Qamarad Qamarad 1er février 2017 15:46

      @maQiavel
      Certes mais on aurait pu rétorquer à Trump qu’il n’avait aucune chance de remporter les primaires

      A ceci près que Trump avait, dans son offre politique, un monopole au sein des républicains, entant qu’anti-establishement affiché ! smiley

      Aux états-unis, les partis sont plus institutionnalisés que chez nous : remporter la primaire, c’est avoir fait son premier tour en France. L’importance des partis dominants limitent fortement le poids des indépendants.

      En France, nous avons un système dans lequel chacun des "souverainistes" vient faire sa petite tambouille, divisant ainsi l’électorat, et vient dire à ses concurrents qui ont le même programme : "Je suis la réincarnation de la pucelle de Domrémy".

      Trump, lui, arrive avec cette "exclusivité" politique chez les républicains, gagne les primaires, rallient des indécis et voient beaucoup d’électeurs de sanders issus de la classe moyenne se rallier lui.

      Donc, on pouvait donner Trump perdant. De toute façon, c’était le seul (avec un programme en large partie imprécis certes) à avoir dans son camp une réelle alternative. Pourquoi ne pas se lancer ?

      En France, un programme, 10 candidats. smiley


  • lejules lejules 31 janvier 2017 18:33

    par principe je trouve qu’il n’est pas souhaitable qu’un militaire brigue la haute magistrature. il peut s’ appuyer sur l’armée et faire un détournement d autorité voir un coup d’état.

    ceci dit le personnage est interressant et ne manque pas de charisme naturel.je n’approuve pas forcement ses idées mais il y a quelque chose. ceci dit je ne crois pas qu’il aille bien loin. 

    • Flash 31 janvier 2017 21:01

      @lejules

      Pour ma part, je n’y suis pas du tout opposé.

      Les militaires sont des gens qui ont consacré leur vie - et pas seulement leur vie professionnelle - à leur pays.

      Ce sont des gens dont le parcours montrent qu’ils sont relativement désintéressés.

      Et ce sont des gens qui ont le sens des rapports de force. Ce ne sont pas des bisounours.


      La bonne politique ne se fait pas avec les bons sentiments, mais avec le sens du bien commun, le sens des rapports de force et le sens de la réalité.


  • Semi Kebab 1er février 2017 12:38

    Je m’voyais déjà en haut de l’afficheu....
    .
    Je sais pas ce qu’il fume mais ça doit être de la bonne, le type est un inconnu complet et se voit déjà à l’Elysée, quand il redescendra sur terre, ça risque de lui faire comme un choc en matière de désillusion.


    • Semi Kebab 1er février 2017 12:39

      Faudrait lui signaler que les électeurs ne sont pas seulement ceux qui ont acheté son livre et qui regardent tv liberté, hein, parce qu’apparemment y a du boulot de ce côté là.


    • Semi Kebab 1er février 2017 12:40

      Qu’il se fasse inviter chez Hanouna, ça serait un bon début pour qu’il sorte de son entre soi...


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